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DVD 1 mouvements (suite) |
DVD 2 < les fenêtres du temps |
DVD 3 mécaphonies 3 |
DVD 4 conférences |
Archives |
I. De ma fenêtre | II. Paradoxe de la lucarne | III. …and the Pursuit of Happiness… | IV. Métamorphoses de l'instant |
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Le
Paradoxe de la Lucarne (2003) Saxophone, contrebasse, électroacoustique et vidéo Saxophone : Josetxo Silguero Contrebasse : Gonzalo Tejada Vidéo : Jean-Marc Chouvel El arte es una
mímesis; pero no es el mundo lo mimetisado.
El arte imita lo ausente y lo acerca hasta esos umbralesen los que el sentimiento puede adivinarlo. Enrique Pajón Mecloy(El irrealismo) L’art est une mimesis ; mais ce n’est pas le monde qui est l’objet du mimétisme. L’art imite ce qui est absent, et le rapproche de cette pénombre dans laquelle le sentiment peut en deviner la présence. Enrique Pajón Mecloy (L’irréalisme) Deuxième
pièce de la série des Fenêtres du Temps, Le
Paradoxe de la Lucarne a été écrit en 2003 pour
saxophone et contrebasse sur des images tournées les
années précédentes dans le grenier d’une maison du
sud-ouest de la France. Sous le titre Les Fenêtres du Temps
seront réunies une série de partitions faisant appel
à la vidéo d’une manière fondamentalement
différente de l’illustration sonore des musiques de film.
La première pièce, De ma Fenêtre, réalisée en collaboration avec le cinéaste Philippe Chapuis, confrontait l’univers instrumental du violoncelle à l’univers sonore capté depuis la fenêtre d’un appartement parisien. La fenêtre marquait la transition entre deux mondes, un passage entre intérieur et extérieur. La lucarne du Paradoxe désigne sans doute une autre forme d’extériorité, et ce n’est plus tant le monde existant que le sens de la création et la perception du réel qui sont interrogés. L’univers sonore déployé dans la pièce prolonge le huis-clos présenté par les images. Les instruments explorent leurs limites physiques les plus intimes, provoquant les extrêmes du possible. Les multiphoniques du saxophone et l’archet « préparé » de la contrebasse trouvent une étrange connivence avec la « créature » de métal qui apparaît à l’écran. Cette œuvre n’aurait pas été possible sans la complicité du sculpteur Laurent Golon. Segunda pieza de la serie Les
Fenêtres du Temps (Ventanas del tiempo), Le Paradoxe de la
Lucarne (El pardojo de la ventanilla) a sido escrito en 2003 para
saxófono, contrabajo y cinta, sobre imagenes captadas los
años anteriores en el techo de una casa del sur-oeste de
Francia. Bajo el título Las ventanas del tiempo se reunen una
serie de partituras convocando la video de una forma muy distincta de
la illustración sonora de la musica de cine.
La primera pieza, De ma Fenêtre, realisada con el cineasta Philippe Chapuis, confrontaba el universo instrumental del violoncello con los sonidos captados desde la ventana de un piso paresino. La ventana delimitaba la transición entre dos mundos, un pasaje entre interior y exterior. La ventanilla del Paradoxe propone una otra forma de exterioridad, y no es el mundo existante que se questiona pero el sentido de la creación y la percepción de la realdad. El universo sonoro desarollado en la pieza proroga el huis-clos presentado por las imagenes. Los instrumentos exploran las limites físicas las mas íntimas, provocando los extremas del posible. Los multifónicos del saxófono y el arco preparado del contrabajo encuentran una extraña correspondencia con la « criatura » de metal que apparece en la pantalla. Esta obra no ubiera sido posible sin la complicidad del sculptor Laurent Golon. |
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