c
a t a l o g u e |
é
c o u t e r < |
i m p r o v i s a t i o n | a
r c h i v e s |
CD 1 < musique pour clavier |
CD 2 musique de chambre |
CD 3 musique pour ensemble |
CD 4 musique vocale |
CD 5 musique mixte |
CD 6 musique électroacoustique |
CD 7 installations |
CD 8 duos |
Prélude Eclaircie et Danse Clavecin : Yves Ruggeri Ces trois
pièces ont
été écrites à la demande de Yves Ruggeri
qui en est le dédicataire. La première explore les
sonorités de l'instrument, en particulier le jeu de luth. Elles
sont conçues selon le principe du sérialisme harmonique
et font référence à une inversion des
procédés d'écriture baroques.
Christ ist erstanden
Orgue : Jean-Marc Leblanc Extrait du dyptique "Christ lag in Todesbanden - Christ ist erstanden" traditionnel de la lithurgie pascale. La pièce utilise le principe des rythmes fractals non-répétitifs.
Intermittences Percussion : Thierry Miroglio,
Piano : Frantz Michel Les deux instrumentistes dialoguent dans cette pièce de manière responsoriale : par intermittence. Le piano expose des modes et des rythmes non répétitifs.
Los Les Percussions de Strasbourg
- Abbaye de Royaumont Créée
lors du stage
de compositionde la fondation Royaumont, cette pièce est le
double négatif écrit en une nuit de la pièce
originale, Sol, qui
était trop longue et trop difficile pour les interprètes.
Elle est dédiée aux fantômes de l'Abbaye de
Royaumont.
Ich ruf zu dir
Orgue : Raphaël Arnault
(dédicataire) Deuxième
pièce du dyptique "Wenn wir in höchten Nôten sein -
Ich ruf zu dir" qui est composé à partir des recherches
sur les réseaux harmoniques.
Trois épigrammes mathématiques
Piano : Jérémie Favreau. Enregistré à La Beaudelie le 3 août 2017. Piano Grotrian Steinweg préparé par Renée Geoffrion. Les trois pièces qui
forment ce recueil ont en commun de mettre en scène un rapport
particulier à la polyphonie, en superposant des lignes indépendantes
extrêmement logiques prises isolément, mais dont la résultante rythmique
ou harmonique prend une consistance d’une autre nature. Elles
interrogent ainsi ce « calcul secret » dont parlait Leibnitz,
c’est-à-dire la façon dont notre appareil perceptivo-cognitif ressent la
cohérence d’une totalité en restant incapable de comprendre les raisons
d’être de cette cohérence.
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